Poésies

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Je m'appelle Mª Jesús Verdú Sacases. J'écris depuis toute petite...


J'adore les fées...


Mes textes ont été traduits au Français par Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

                  
                  
    
L’amour pour mon compagnon

Je me sens comme une princesse,
en échappant de ton château de contes de fées
et en pénétrant dans une forêt enchantée,
couronnée par l’auréole de la lune
et parsemée d’étoiles de la nuit.

Je me laisse emporter par mes rêves
et un sentier de lumière
m’enfonce dans le brouillard
sur lequel s’élève
un château dans le ciel
et les ailes de ton amour
me transportent
devant les baies sacrées,
celles-là dans lesquelles s’unissent
musique céleste et rayons multicolores
qui se fondent sur ton visage
et dans ton âme silencieuse et belle,
douce expression de ce sentiment véritable, stable et fort,
cet amour authentique
qui conflue avec l’infini
et je découvre le voile du bonheur à tes côtés.

Auteur texte et image: Maria Jesús Verdú Sacases (texte et image inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

 À mon compagnon

Je me sens bénie
 par ce rayon de spiritualité
qui embellit les secondes avec toi
en chacun dans laquelle
confluent nos âmes.

Tu m’emportes en silence
dans cet espace
que nous partageons depuis des années
et ça me touche
que tu conserves encore
cette magie unique
qui me fit tomber amoureuse de toi.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

  Avec toi

Je suis les lignes de ta peau
qui m’emmènent dans un endroit de rêve,
guidée par ton regard
d’où naît l’Arc-en-ciel.
ta respiration coule de façon si compassée
qu’on dirait qu’elle prolonge le temps
et qu’elle puisse jouir de chaque  instant à tes côtés.
Je te regarde et le temps s’arrête
pendant une seconde éternelle
à ta recherche.

Tu me caresses l’âme avec cette tendresse
qui ne se connait que lorsque les sentiments explosent
et le futur  se consolide.

Je m’endors  avec la chaleur de te cœur
qui berce mes sens
jusqu’à ce qu’ils s’échappent vers la sérénité
chaque aube jusqu'au soir
où tu remplis de plénitude
mes jours.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck
  
Pour toujours

J’ai les paupières tellement closes
qu’il semble que j’aie le regard
collé par terre,
endormie dans le lit de nos sensations,
couchée avec les ombres de notre destin,
séduite par ton romantique mysticisme.

Nous marchons avec nos émotions
dans la direction de l’amour,
en poursuivant nos rêves,
qui nous montre le chemin ensemble.

Tu es arrivé aussi profondément dans moi
que tu fais désormais partie de moi,
c’est  pour cela que je te sens dans ma peau,
dans chaque battement,
dans chaque pas.

Je te perçois comme l’énergie qui guide mes mouvements,
comme la chaleur qui attendrit mes jours,
comme l’air qui me caresse chaque matin.
  
Je te trouve dans le vent qui se calme quand tu le regardes,
dans le cœur des amants,
dans les nuages qui se fondent avec la lumière du soir.

Tu remplis de plénitude mes moments
de bonheur,
qui sont meilleurs, plus tu t’approches de moi.
  
Savoir que je partage avec toi cette vie
et que je te chercherai dans les suivantes,
augmente l’intensité de mon sentiment
parce que là où tu sois,
je serai toujours avec toi.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

 Oui, toi, amour

Tu es en train d’estomper le ciel
où brille ton regard  à travers les étoiles
accrochées à l’Univers des rêves
qui commencent avec toi.

Tu remplis mes jours
de tes paroles animées,
desireuses par la tombée de la nuit
où nos haleines
se croisent avec les étincelles de sésir.

Nous ouvrons notre chemin
avec les désirs qui s’échappent du coeur
pour se matérialiser
dans la réalité de nos jours
avec la forme de nos illusions.

Ton regard avale les reflets du sol
et arrive le soir,
je rougis de passion.
  
Et le découlement du temps caresse nos sentiments,
pendant que se consolide cette chose tellement notre,
entre rires et regards de complicité,
avec  un langage sans paroles
qui nous connecte jusqu’à l’éternité.

Douce existence à tes côtés,
sérénité de l’expérience,
placide réalité
me remplissent l’âme
de paix et de bien-être
que beaucoup recherchent encore.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

Oui, toi

Je te  sens tellement dans moi
que je te visualise
comme la rivière de mes émotions
lesquelles coulent dans tes eaux
jusqu’à ce qu’elles deviennent la réalité
de mes rêves,
toujours avec toi.

Tu es l’amour qui repose serein
sur le lit de la vie,
couvert par la tendresse des jours,
recouvert par l’illusion du temps à tes côtés,
les sens s’endorment
jusqu’à toucher le plafond
de tout ce que je veux le plus.

Le gel en durcit la superficie,
au milieu de cette paix
où je continue à te respirer
lorsque tu commandes chaque ravin
qui recourt cette vallée.

L’hiver revêt les prés
qui demeurent recouverts
de la couche blanche des anges.

Le soleil et l’ombre reposent sur la neige,
la remplissant de différentes nuances,
qui cassent l’uniformité de sa couleur.

Les montagnes se prolongent
au miroir du marais
à se verser par la lumière de ton regard.

Tu te vides avec chaque goutte de pluie
qui me descend jusqu’au bas du dos,
pendant que je reste attrapée
entre ton cœur et mes pensées.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

Remerciement à mes parents pour tous les égards reçus
     
Je marche avec les yeux fermés
mais je continue de l’avant
parce que je sais vous me guidez toujours.

Merci à toi père,
de me rappeler ma force
et de me nourrir de cette affection
qui allège le mal
qui m’a tant fait pleurer.

À toi,  mère,
pour ta patience,
pour toutes tes attentions,
pour chaque souvenir de mon enfance
où tu es présente,
pour chaque élément de ton monde
auquel tu as du renoncer
pour enrichir le mien,
pour chaque larme
que ton réconfort a séché,
et aussi pour toutes les mères
parce que votre amour
est le meilleur cadeau
que la vie puisse nous offrir.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck
  
 A toi, amour

Je me remplis de toi
mais tu es si infini
que je ne peux pas te contenir complètement
en moi
et tu t’échappes
par chaque pore de ma peau
et tu te transformes
où  que tu ailles.
Je te sens
dans le parfum séducteur des lys,
dans l’illusion de mes pensées,
dans chaque image,
dans le sourire des gens,
dans la tendresse des enfants
dans la sérénité de  la maturité,
dans la force que tu me transmets.

Tu es tellement présent dans  mon entourage
qu’on n’y respire que toi tout autour.

Mon désir est tellement grand
de m’absorber de toi
que je deviens un arbre
qui grandit dans ta forêt
et je sens comment tu montes
par la sève de mes branches
et tu m’alimentes de ton affection.
  
Et je perçois
dans l’essence
de chaque élément de l’aire
que tu me nourris
et tu me plais tellement,
que je t’absorbe
et je mange de toi,
sans m’arrêter,
et je sais
que tu seras toujours ma source d’énergie
et je pourrai t’absorber.

Je m’élève vers l’Univers
jusqu’à ce que je touche les cœurs des anges,
qui me remplissent l’âme
jusqu’à se verser.

J’écoute comment le vent
frotte mes feuilles
et comment elles se décollent de moi
en automne,
qui les pâlit,
et elles tombent et s’endorment
dans le lit que les accueille
et, toutes ensemble, elles t’embrassent
et l’amour de ton monde se multiplie.

Tu es la terre prospère
d’où jaillissent mes succès,
la fondation et le plafond
de  ma réalité,
le début et la fin
de mes jours,
la boussole
qui nous marque la direction
que nous empruntons ensemble
dans le chemin de nos rêves.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

 A ma grand-mère, maintenant au ciel

J’aurais aimé recueillir ton dernier soupir
avant que les tenèbres ne se posent sur ton corps,
avant que les anges  ne te guident,
entre les étoiles et la pleine lune,
vers la terre éternelle. 
J’aurais aimé partager ton ultime sourire,
ton dernier regard
juste avant que tu ne t’en ailles de mes côtés pour toujours.

Maintenant je sais que tu ne reviendras plus,
mais il me reste le meilleur de toi:
ton souvenir ineffaçable et la force de cette personnalité,
qui a vaincu tous les obstacles,
qui me  guidera pour toujours
sur mon chemin,
dans cette vie dont tu as emporté avec toi
un morceau de mon bonheur.

Merci pour ton amour grand-mère 
qui a tant caressé  mes jours d’enfance,
entre jeux et rires,
et pour tes sages conseils,
qui m’ont tant aidé.
Merci pour le meilleur que tu m’as laissé :
nos vécus et la douce saveur de ce qui fut tellement tien et mien.

Je t’allume une bougie
qui me transmet la paix que tu m’envoies désormais du ciel…

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck
  
Pendant que nous nous disons au revoir
    
Je m’enfonce dans ton fascinant regard
que l’Univers tout entier a avalé
ce qui lui confère
une dimension si infinie
qui me captive chaque fois que tu me regardes
avec la même intensité
avec laquelle les étoiles brillent dans le ciel.

C’est comme ça que  tu m’hypnotises
au cours de notre jeu
de communication non verbale
où les normes traînent vers les émotions
qui s’installent à fleur de peau
sur nos corps,
les faisant vibrer jusqu’à ce qu’ils s’endorment
avec la respiration compassée
d’un monde qui danse au rythme de notre attraction.
  
Tu me séduis avec l’habileté d’un mage
qui imprègne de magie mes rêves
pendant qu’il prononce les enchantements d’amour
qui caressent mes jours.

Brillent tes yeux d’enfant espiègle,
quand tu me souris, pendant que tu t’en vas…
  
Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

Sentiments
 
Les paroles s’échappent entre les gouttes de pluie
de la bouche des anges
à la recherche de l’amour qui nous unit.
 
Je découvre chaque coin de ton corps,
poussée par la plénitude qui le remplit,
attirée par la beauté de chaque forme,
poussée  par la magie avec laquelle tu imprègnes mon entourage.
 
S’ouvre la fleur si lentement
comme ta respiration  pausée
en équilibre avec le battement du monde,
en harmonie avec la sérénité de ton regard.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

Douce passion
       
Tu m'ouvres la peau
avec tes baisers de feu
dans un volcan de lave
où tu tords ma volonté,
maintenant à tes pieds

L'élan de la passion
rayonne  dans chaque pore
et pénètre dans le plus intime
de mon être.

L'élan de la passion
rayonne  dans chaque pore
et pénètre dans le plus intime
de mon être.

Tu me chuchotes ton secret le plus
intime
et me mènes jusqu'aux
confins de l'infini
d'où naît l'amour
et je l'absorbe
pour m'enivrer de toi.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (texte inscrit sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck


Tes yeux

Je m’ouvre à la lumière
qui pénètre dans tes yeux de rêve
et je me fonds avec elle
pour  me plonger dans ta beauté intérieure
et je découvre devant moi un paradis rêvé,
où je me libère lentement
au rythme de ta respiration pausée,
remplie de ta paix intérieure.

Cette sensation latente de calme que tu me transmets
m’amène à être complètement en harmonie avec moi-même
jusqu’à ce que j’arrive à un niveau
où je me penche vers ton âme,
entre murmures et soupirs,
lorsqu’une sublime connexion m’attrappe
avec une sagesse ancestrale
et le calme d’un coeur expérimenté.

Je te sens ancré en mon être,
présente en ma conscience
en  te répandant en moi,
en vibrant dans la même fréquence.

Je continue jusqu’à l’éternité
en me mêlant à ton essence
et en tombant amoureux de toi.
Vie après vie.

Tu es le chemin
depuis l’aube jusqu’au crépuscule,
où s’écoulent mes meilleurs jours,
chaque fois que tu souris
chaque fois que tu m’encourages,
chaque fois que tu illumines
mes nuits douloureuses
dans ma voie personnelle d’évolution.

L’arc-en ciel jaillit en toi
quand tu contamines les gens
de ton enthousiasme
et tu nourris l’Univers
avec ta vision du monde.
Je sens ta force comme une segonde couche sur ma peau,
qui me pousse à continuer de l’avant.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (texte inscrit sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck
   
Poésie d'amour

Je m'enferme dans ton âme,
pleine de lumière douce, ténue, sereine, éthérée,
comme celle qui se glisse dans la mer
quand elle reçoit le jour
et la nuit baisse son voile
et s'échappe avec les étoiles et la lune
pour se cacher
sur la plage des pêcheurs,
derrière des vagues infatigables
tel des cerfs-volants fugaces,
courronnés d'une écume avec à l'odeur de sel.
  
Les conques et les dauphins m'accompagnent au fond
jusqu'à ta partie la plus intime,
ancrée dans un navire de silence au drapeau d'éternité,
dans la proue d'où naît la paix.
Je sillone la baie d'une eau cristalline
après le sillage du désir
à la recherche du soleil qui surgit chaque matin
de ton regard
dans la direction de ton sourire
avec lequel tu réconfortes un monde anxieux d'amour.
  
Je lâche le fardeau pour m'élever
vers ton éclat éternel,
en m'absorbant de la légerété de l'être.

Tu es un souffle de fraîcheur qui insuffle mon corps d'une énergie infatigable,
qui coule anxieuse à travers les veines en ébullition,
en poussant mon embarcation à pleines voiles
dans un océan de nymphes et sirènes.

Je débarque au port de tes baisers,
profonds comme la pluie rénovatrice
qui rend la vie à la planète,
des baisers qui agrandissent un sentiment sans égal,
des baisers qui s'unissent avec les rayons de l'aube
et qui se mélangent avec la lumière matinale.
  
La douce houle qui me berce
meurt au bord de l'eau
et renaît une et une autre fois
en une synchronie parfaite
avec le tremblement de la terre,
pendant que je ferme les yeux
et je visualise ton ombre, immortalisée dans mes rêves,
accompagnée de ta voix posée
en chantant ensemble jusqu'à l'aube.

Je m'élève avec les notes de notre mélodie
et je touche tes lèvres
dans une vibration qui connecte avec  les anges.  
 
Je deviens ta sérénité, ton calme
ta sensibilité et ton équilibre
et je me sens la ligne de l'horizon marin
derrière laquelle se cache l'infini,
entre des brumes et légendes de pirates
en un tourbillon vers l'inconnu,
où tu continues d'être présent,
après les limites connues,
dans mon subcoscient,
dans chaque pore de ma peau,
dans chaque cachette de mon coeur,
dans chaque pensée,
dans chaque acte par lequel je converge vers toi
et n'importent les difficultés existentielles
car au-delà de tout
tu es là.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (texte inscrit sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

Poésie de ta voix

Ta voix se balance
entre les épis tordus par le vent,
ton sourire se cache derrière chaque rayon de l'aube,
ton silence repose serein dans un lac  silencieux,
où les éclats lumineux
jouent sur une surface ondulante, argentée,
remplie à ras bord de ta lumière et de tes caresses,
qui séduisent au passage du temps,
merveilleux et attendrissant envers toi,
où les rêves ne finissent pas
et se prolongent,connaisseurs de leur existence éternelle
par l'action de ton amour.

Tu me mouilles avec tes baisers
pendant que je m'effonds en toi
et je m'imprègne du silence de ta profondeur,
en m'imbibant de ton haleine...
en m'emplissant d'étoiles,
qui reposent dans la paix de tes eaux sereines et profondes
attirées par ton calme

.
Je m'élèves avec ton équilibre
vers la voûte céleste, où je me mélange avec les anges et les fées,
dans un sentier de beauté
vers ton coeur loyal.

Je chuchote ton nom aux êtres ailés,
qui m'enveloppent d'un manteau d'énergie transformatrice,
qui me guide vers un ciel enveloppant,
de câlins et de tendresse,
et j'atteris dans des nuages en coton,
dans une promenade multicolore
où à la fin du chemin
j'entre en unité avec ton âme.

Je pleure d'être si heureux,
de me nourrir de tes moments magiques,
dans lesquels ton enchantement contamine sa beauté
à mes jours,
lorsque l'arc-en-ciel se pose sur tes yeux
et se laisse séduire jusqu'à ce que ton regard l'engoutisse.

Tu m'envoies des gouttes de pluie
qui me font vibrer,
pendant qu'elles se rapetissent et se glissent
dans chaque pore de ma peau
et elles me nourrissent,
m'arrivent profondes,
dans la direction du plus intime de mon être,
lequel tu anoblis avec ta sagesse.

Et je me lève légère,
et je tombe endormie dans toi chaque nuit.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (texte inscrit sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck

Poésie de ton sourire
     
Je m'élève avec ton sourire
vers le scintillement de ton chaud regard,
transparent comme tes actions,
lesquelles sucrent mon existence
avec le silence
d'une douce rêverie à tes côtés.

Tu enveloppes mes moments avec toi
avec ta bonté et ta beauté
et tu les élèves vers le divin
dans une spirale de l'amour.

Tu libéras mes craintes
tu redécouvris mon potentiel
et tu ouvris mes expectatives au monde,
réveillant mes rêves endormis,
quand la souffrance
avait engourdi mes désirs.

Tu mis de la lumière dans ma poitrine
et tu encourageas la lune et les étoiles
à raviver mes illusions,
lorsque l'obscurité
s'étendait dans mes viscères
et la douleur avait éloigné
quelque trace d'espoir.

Tu me fis sourire à la vie
tu estompas la nébuleuse
qui embuait mes désirs ardents
et tu retournas l'éden à mon entourage,
fleurissant de tes jaillissement d'amour,
sur la terre inhibée de ta tendresse,
fertilisée par ton équilibre
sur lequel les fleurs d'orangers
exhalent le parfum de ton corps
et chante des chansons de bonheur,
pendant qu'elles se montrent en toute leur splendeur
pour continuer à germiner dans ton âme.

Auteur: Maria Jesús Verdú Sacases (textes inscrits sur le Registre de la Propiété Littéraire et Artistique).
Traduction au français: Elise Sandrine Yanmbock Mbeck